L’alimentation …

… est régulée et stabilisée, elle utilise des régulateurs faible bruit beaucoup plus silencieux que les fréquents LM317 ou LM78…

 

La carte centrale …

… est principalement occupée par les étages tampons des alimentations.

Les étages de gain, où seront enfichés les modules V6, vont surtout assurer le rôle de bufferisation entre les sources et les amplificateurs de puissance (impédance de sortie quasi nulle), le gain en tension est arbitrairement choisi à + 6dB.

 

Usinage de la face avant …

… qui est en aluminium.

Comme c’est une belle pièce bien épaisse il est nécessaire de faire des lamages pour les fixations du contacteur et du potentiomètre commuté.

Au centre ce sera la LED … verte …

 

Les étages de gain …

… seront assurés par des modules à composants discrèts BURSON V6.

Ce sont les mêmes modules que ceux utilisés pour mes préamplis SESG-V6 (Riri, Fifi et Loulou) mais en simples (dans les SESG ce sont des doubles).

Ces modules existent en version Classic ou Vivid, l’amateur de musique de chambre ou lyrique préferera sûrement le Classic, alors que le Pop ou Jazz lover préferera le Vivid

 

Les pieds …

… seront en aluminium massif, comme le boîtier qui sera également 100 % aluminium (pour sa qualité amagnétique).

 

Les condensateurs tampons …

… des alimentations sont des NICHICON MUSE, il y en aura pas moins de … 40 … (20 par canal, 10 pour le V+ et 10 pour le V-).

Pour un préampli la qualité de l’alimentation est primordiale ( certes, elle l’est aussi pour les amplis) et, pour faire simple,  ces “petits” condensateurs sont moins “bruyants” que des gros. Ces étages de condensateurs vont un peu se comporter comme des batteries “tampons” (moins silencieux tout de même). Bon, un petit c’est pas 10x moins cher qu’un gros mais … faut ce qu’il faut …