On trace …

 

… au centre de 2 petites et 2 grandes plaques, 3 cercles de 82mm de diamètre (ou 102mm pour des gros pieds).

Le fait d’utiliser 3 tubes c’est surtout pour de design final (on peut simplement n’utiliser qu’un gros tube de par ex. 150mm de diamètre).

Un pied doit être stable (donc lourd) mais design aussi …

 

Et voici donc la : … ” Twin arms ” …

… un beau vaisseau de 84 cm de long et près de 50 kg.

Elle va partir chez l’ami Régis, avec les Loulou I et Loulou II, rejoindre le préampli ligne Bagheera et les blocs mono Rox et Rouky.

Il va encore y avoir du retard sur l’EPR …

Nouveau vaisseau amiral …

… avec ses 2 bras en carbone de 16 pouces et son plateau en aluminium massif de 380 mm, cette nouvelle platine entre dans le cercle fermé des vaisseaux amiraux Artisanat Acoustique ( ” Galactica “, ” Leeloo ” et ” Blue in the night ” ).

Mais au fait… il va falloir la baptiser …

Avec le 2ème bloc bras …

… on peut écouter les beaux disques. Celui-ci est équipé d’une Audio Technica  OC9 XSH (MC) et est connecté au préampli phono Loulou II.

 

Avec le 1er bloc bras …

… on peut déjà écouter des disques. Celui-ci est équipé d’une ORTOFON OM40 (MM) et sera connecté au préampli phono Loulou I pour les écoutes des disques “tout-venant ” …

 

L’axe …

… est une belle pièce en inox de 195 mm de long pour 10 mm  de diamètre, il s’insère dans des paliers en Téflon (auto-lubrifiant) et repose sur une bille en céramique.

La bague d’arrêt est également en inox, of course …

 

Le couvre plateau …

… c’est le Riffaud Micpormat, en plastomère basse densité à structure micro-poreuse : un must pour optimiser la restitution des platines les plus abouties …

Pour une belle pièce…

… c’est une belle pièce, usinée dans la masse, avec l’évidement, en surface, qui va recevoir le couvre plateau …

 

Et le voilà …

… notre plateau tant attendu, certes il a un peu pris son temps, mais le résultat est là : une belle pièce de 380 mm de diamètre pour 75 mm d’épaisseur.

Avec une telle inertie, la vieille notion de “pleurage et scintillement”, que l’on avait dans les bancs d’essais des années 80, est nulle et non avenue, y’en aura pas ! : nicht, nothing, niente, nada…